Et rien n'a changé pourtant, à en juger par ce que l'on entend et voit actuellement..

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samedi 12 janvier 2013

La police gaze des enfants et saccage un camp de roms, un mauvais remake d'autrefois, MERDE !!!

Note préalable (hors sujet mais non sans intérêt!!)
Un décollement du vitré impromptu m'empêchant provisoirement de faire mieux (on découvre ainsi le délitement de notre système de santé, pas d'urgences ophtalmo à moins de 90 km de mon bled et quand on n'y voit pas trop en voiture!!! or en cas de décollement de la rétine, il faut agir tt de suite sinon aveugle !!) j'uploade de Dazibaoueb tel que ss trop fixer tt pis désolée. (Pour les gens de + de 50 ans sur ce fil, c'est un procèsss normal à cet âge ms qui prend 1 an ou + et qui parfois -effort, émotion, là c'est le cas- se fait illico, on voit soudain des "feuilles", taches, "racines" -rouges!- s'agitant devant soi comme des fils nageant ds un verre d'eau, pas vilain ms bon, et les flashs sinistrement révélateurs du décollement de la rétine ne st pas trop graves ms handicapants, boire bcp, surveiller, l'impression d'arrachement est normale aussi c'est le vitré à demi déraché qui pèse.) Etre zen ms après ce qui suit.. ça revient.


Auteur : philippe alain - Source : Mediapart
Mardi 8 janvier, en fin d’après midi plusieurs dizaines de policiers font une descente dans un des plus grands squats de roms de l’agglomération lyonnaise à Saint-Fons. Tout y est: tenues anti-émeute, casques, boucliers, flash-ball, grenades lacrymogène, taser, chiens d’attaque. Pendant une heure, ils vont gazer les habitants et saccager le bidonville pour se venger.

Un peu plus tôt dans l’après-midi, selon certains roms, des enfants auraient jeté des cailloux sur une voiture de police qui s’était introduite sur le parking du terrain privé qu’ils occupent. Voici donc nos braves policiers en tenue de guerre bien décidés à en découdre avec les enfants.

Les policiers commencent par se retrouver au beau milieu d’un anniversaire. Une petite fille fête ses 3 ans et de nombreux enfants sont autour d’une table et d’un grand gâteau. Ils dansent au son de la musique tzigane, vêtus de leurs plus beaux habits. Estimant probablement qu’il s’agit là d’un rituel rom dangereux et inconnu, les policiers donnent des coups de pied dans la table et balayent tout ce qui se trouve dessus : bouteilles de soda, gâteau, tout y passe. L’anniversaire, c’est comme le changement, ce n’est pas pour maintenant.

Les policiers ordonnent ensuite à toutes les personnes présentes de rentrer dans leurs cabanes et commencent à y pénétrer une à une. Il s’ensuit de véritables scènes de guerre. « Même dans les films, on n’a jamais vu ça», souligne un habitant.

Marinella est couchée avec ses enfants lorsque deux policiers casqués rentrent dans sa maison. L’un d’entre eux tient dans sa main un bouclier et dans l’autre une bouteille de gaz lacrymogène qu’il vide en aspergeant l’ensemble de la pièce. La maman va se précipiter sur un linge pour couvrir ses enfants. Elle suffoque, ses enfants, eux, étouffent, impossible de respirer et de rester là. Elle se précipite dehors avec eux. Les policiers sont déjà passés à la cabane suivante.

Roberto, 12 ans, raconte: « un policier est arrivé avec un fusil et une lumière sur le fusil. Il a dit : on va revenir vous casser les couilles tous les soirs. En partant, un autre a mis du gaz avec une bouteille blanche. Ca piquait beaucoup la gorge et les yeux, avec mes frères et sœurs on est tous partis dehors, il y avait plein de policiers en noir avec des casques et des boucliers et aussi des chiens.»

Claudia a 18 ans. Elle tient son bébé de 18 mois dans les bras quand un policier arrive vers elle et l’apostrophe violemment : « Il est où celui qui a jeté des pierres sur la voiture ? » Comme tous les habitants, Claudia n’est absolument pas au courant de ce qui s’est passé quelques heures auparavant. Elle jure qu’elle n’en sait rien. La suite est incroyable: « le policier a pris un bidon remplit d’eau et il l’a jeté sur moi et mon bébé en m'insultant. J’étais toute mouillée ».

Le comportement de la police rappelle ensuite des moments biens sombres de notre histoire. Sandu, est seul dans sa cabane. « J’étais en train de ma laver. Un policer est rentré, quand il m’a vu, il a lancé du gaz lacrymogène à hauteur de mon visage et il a refermé la porte. Quand j’ai voulu sortir, je n’ai pas pu. Il bloquait la porte et m’empêchait de sortir. J’ai cru que j’allais mourir. »

Le terrain de Saint Fons est vaste. Après avoir passé en revue toutes les cabanes, réveillant les personnes qui dorment déjà, insultant celles qui ne dorment pas et gazant une bonne partie d’entre elles, les policiers attaquent l’autre partie du terrain avec une sauvagerie incroyable.

Ils se mettent à casser les vitres de toutes les cabanes, méthodiquement, une à une.
Quand ils arrivent à hauteur d’une voiture, ils cassent la lunette arrière. Sacha, 10 ans raconte : « il y avait un gros projecteur qui éclairait tout. Il y avait du bruit et j’ai regardé par la fenêtre. J’ai vu un policier tout en noir qui cassait la voiture avec son bâton. Ensuite, des policiers ont regardé par la fenêtre avec une lampe. Je me suis vite caché sous les couvertures avec ma maman, j’avais peur. Un policier qui avait un casque a mis du gaz par la fenêtre. On ne pouvait plus respirer. Ma maman voulait sortir, mais j’avais trop peur. On a attendu qu’ils partent. »

Les vengeurs casqués continuent à remonter les cabanes. Des portes sont arrachées, des bâches déchirées. Dans un cabane, le repas du soir qui cuit dans un grosse marmite est violemment jeté par terre par un policier. Dans une autre, un homme qui dort est réveillé par le bruit de la porte qu’un policier vient de fracasser : « j’ai ouvert les yeux et un policier avec un casque m’a mis du gaz sur la figure »

Bilan de l’opération : plusieurs dizaines de personnes gazées dont des enfants traumatisés, une femme aspergée d’eau, (qu’est ce qu’on rigole dans la police…), des vitres de cabanes cassées et des portes arrachées. Avant de partir, les policiers ne peuvent s’empêcher de s’exciter sur les voitures garées sur le parking et cassent les rétroviseurs de plusieurs d’entre elles.

Contactée par des journalistes le lendemain de l’opération punitive, la police donne bien évidemment une version toute différente. Selon un communiqué sorti dans la précipitation, « un équipage de police a été victime de jets de projectiles dont un a brisé la lunette arrière du véhicule et atteint le chauffeur. » Soucieux de couvrir immédiatement ses hommes, le commissaire en personne montre à la télévision un véhicule de police dont la vitre arrière est brisée… à deux endroits… Ouaou… Ils sont forts ces roumains. Un projectile, deux impacts. Ils ont inventé le caillou à fragmentation qui se divise en plusieurs parties lors du jet. A moins que ce ne soit un caillou à tête chercheuse qui est rentré dans le véhicule avant d’en ressortir.

Mais les contradictions de la police ne s’arrêtent pas là. Dans une interview donnée à la télévision, le commissaire affirme que suite à l’agression du caillou à fragmentation et à tête chercheuse, des policiers, confrontés à une « vingtaine, voire une trentaine d’individus hostiles », ont fait usage, « à une reprise du gaz lacrymogène » et « dans la foulée, les équipages se sont repliés et ont terminé leur mission. »

Sauf que le communiqué de presse, lui, dit exactement le contraire : « ils ont été dans l’obligation de faire usage du gaz lacrymogène pour les repousser et poursuivre l’opération. » Alors, après le gazage, partis, pas partis les rambos ? Il faudrait que la police accorde ses violons.

Enfin, le communiqué affirme : « une opération de police a été montée de 18.30 à 19.30 afin d’identifier et d’interpeller les auteurs ». Est-ce que quelqu’un a déjà vu une opération de police sans contrôle d’identité ? Surtout quand il s’agit « d’identifier » des individus. Et bien ce soir là, pas une seule personne sur les 200 que compte le campement n’a été contrôlée. Pas une. Pas une seule interpellation non plus. Mais ce n’était visiblement pas le but.

Selon une source policière qui souhaite rester anonyme, il s’agissait de retrouver un lance-missile, pardon un lance-cailloux, un objet qui aurait pu servir à lancer un projectile… En réalité, il s’agissait surtout d’une expédition punitive pour montrer de quel bois se chauffe notre valeureuse police en cette période hivernale.

Ce n’est pas la première fois que la police gaze des enfants roms à Lyon. En novembre 2010, déjà, des policiers avaient utilisé des gaz lacrymogènes contre un squat, envoyant plusieurs personnes à l’hôpital. Les policiers avaient nié les faits et expliqué qu’ils avaient gazé un chien. Cette fois-ci, le commissaire, la Direction Départementale de la Sûreté Urbaine et le préfet en personne sont montés au créneau pour couvrir les policiers qui se font justice eux-mêmes. Tous ont répétés le même message: la police n’a fait que son travail.

Non, messieurs, le travail de la police n’est pas de se venger d’un jet de caillou contre une voiture en gazant à bout portant plusieurs dizaines de personnes dont des enfants.

Non, messieurs, le travail de la police n’est pas de punir des innocents en saccageant des habitats précaires plongeant ainsi dans un misère encore plus grande des dizaines de personnes dont le seul crime est de vivre sur un terrain vague.

Non messieurs, les roms ne sont pas des chiens, (note de hl et m des chiens merde on ne fait pas ça!!) que l’on gaze et que l’on chasse à coups de matraque. Ce sont des êtres humains qui ont le droit de vivre dans la dignité comme tous.

Les dirigeants socialistes et Manuel Valls en particulier portent une très lourde responsabilité dans les dérapages successifs contre la minorité rom. Depuis l’élection de François Hollande, on assiste à des comportements pire encore que sous Nicolas Sarkozy : des traques jour et nuit (1), des enfants humiliés et violentés par la police (2), des bébés en garde à vue (3). La liste est longue. En continuant à stigmatiser les roms, en jetant cette population à la vindicte populaire et en couvrant de tels agissements de la part de policiers qui sont censés faire respecter la loi et non la violer, le gouvernement ouvre la porte à des actes beaucoup plus graves. Un vague de racisme sans précédent se développe actuellement en France contre les roms. On se rend compte à travers ce dérapage révoltant qu’elle touche également très largement la police.

Valls, qui rêve d’effectuer le même parcours que Sarkozy emprunte les mêmes chemins nauséabonds et racistes qui mènent au fascisme.

Les roms ont toujours été les boucs-émissaires idéaux pour détourner l’attention des peuples et leur faire oublier l’impuissance de ceux qui nous gouvernent à juguler les crises économiques. En Allemagne, dans les années 1940, déjà, on les gazait. C'était dans les chambre à gaz des camps de concentration.


mercredi 9 janvier 2013

Le racisme des exclus. Le Gard, le département le plus pauvre de France après la Seine St Denis





Le Gard, département le plus pauvre de France avec 9,8% contre 6,2% de RSA ; le plus nataliste, sur 10 ans, 13,1% d'augmentation contre 6,5 [ce ne sont pas les étrangers, 5,3% contre 5,8% qui sont cause de cet extrême écart] ; où la proportion de délits et de crimes est la plus lourde (pour 100 000 personnes, 742 contre 600) ainsi que celle des vols (4064 contre 2908) ; où le taux de chômage est le plus haut (13% contre 9,4) ; les salaires inférieurs de 10% et les imposables sur le revenu seulement 52% contre 59... est aussi le département où l'extrême droite FN a réalisé son score le plus élevé (25% contre 18)! La misère conduit le peuple à se fasciser ; cela évoque la prise de pouvoir de Hitler dans une Allemagne exsanguinée par le traité de Versailles : la haine au lieu de s'attacher à ses responsables véritables vise des bouc-émissaires qu'ils leur offrent en pâture comme un os de poulet à un chien affamé -en principe les "étrangers", les juifs, arabes, et actuellement, en premier, les roms ..  

Source, Midi libre 26/4/2012  
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The Gard is the poorest department of France... where the proportion of RSA (social aids for long-time unemployed) is the most important [9,8% and 6,2 only outside] ; where the increase of people during the ten later years (13,1%) is double of those outside (6,5%) [yet, the proportion of foreigners is not very important, 5,3% and 5,8 % outside] ; the delinquancy harder and overrepresented (742 crimes and offenses/100 000 and outside, only 600); 4064 robs and only 2908 outside; the unemployement concerns 13% of actives and only 9,4 outside; the salaries are 10% lower than outside average ; and there is only 52% tax payers for the revenues taxes and 59% outside… And yet, it's the place where Le Pen's score (extreme-right) is the best, 25,5% and 18% outside ! It seems that the misere leads to vote.. for an extreme wealthy (and of extreme right) woman who despises us as all these richs usually despise low people. May be her violent scorn for the foreigners, arabs and jewish too (the poors, not the wealthy ones who walk to shopping on chic lanes of the sixteenth) whose she says that they are the main cause of their poverty has convinced them that only her can resolve the question by massive expulsions ? Is it so easy to transfert the pain of people and to turn it against innocents in order to make them forget the real causes of their situation: the dramatic increase of social inequality mainly since Sarko's rule ?

Lettre ouverte à Gérard Depardieu de la part d'une minable

Minable? Pour vous cela ne fait aucun doute. Nous avons bien des points communs cependant. Comme vous, je suis née en 1948 et comme vous, j’ai commencé à travailler à 14 ans [l’École Normale où étaient bouclées les enfants pauvres et "méritants" constituant bel et bien un travail] puis comme prof. J’ai toujours payé mes impôts sous tous les gouvernements en place. À aucun moment, je n’ai failli à mes devoirs. Les élèves auxquels j’ai enseigné témoignent de mon attachement à la justice et à la liberté. J’ai tout à faire ici et continuerai à le faire. Je considère moi aussi que la création, surtout l’engagement politique sont parfois sanctionnés [par une carrière financièrement et socialement obérée dans mon cas.] Je ne demande pas -ou presque- à être approuvée. Payer mes impôts me met dans une merde relative pour diverses raisons que je n’ai pas à expliciter ici. A un moment, j’ai eu à peine de quoi manger.  

Mais je conserve d'autant plus le désir de changer les choses. De la Sécurité sociale, comme vous, je ne me suis presque jamais servie et comme vous, je me sens citoyenne du monde, ma mère me l’ayant aussi toujours inculqué.

Je trouve minable l’acharnement Manuel Walls contre les roms qui les condamne des gosses à de la garde à vue hard quand tant d’autres pour des faits autrement plus graves échappent à toute sanction véritable et je blâme ceux qui conduisent bourrés car s’ils n’ont encore jamais tué comme ils s'en vantent, ce n’est qu’une question de temps; minable également ceux qui, enrichis par nos impôts, quittent le navire qui tangue et que des exclus en raison de leur origine auraient besoin d'une aide qu'ils pourraient facilement leur apporter. 


J’ai eu en charge 3000 ( ?) étudiants et élèves auxquels j’espère avoir apporté un peu plus de raison, de lucidité et de bonheur. Je ne suis ni à plaindre ni à vanter. Malgré mes excès, mon anorexie et mon amour de la vie, je suis un être libre, Monsieur Depardieu, non enchaînée au fric, et ne vais donc pas rester polie autrement dit, je vous emmerde. Il serait mieux de ne plus entendre parler de vous. N'oubliez pas de donner le bonjour à Poutine de la part d’Anna Politkovskaïa et des 118 jeunes marins du Koursk (lien) sacrifiés à sa tyrannie. Hélène Larrivé (lien)


mardi 8 janvier 2013

Début dans la vie: un bébé rom en garde à vue, Julia Sarko, une robe Dior

D'après Philippe Alain -  (lien)



 Après les expulsions, les traques qui ont repris de plus belle avec Hollande et Valls (1), les cyclistes verbalisés pour pneus lisses (2), les enfants pourchassés et humiliés (3) voici.

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En cette fin d’année 2012, Mirela (4) rom de Roumanie sollicite la générosité des passants pour acheter de quoi manger pour elle et son bébé de 12 mois. Elle tient fermement la poussette. Vivant dans un "camp", lire un bidonville (la 5ième puissance économique au monde étant incapable d’intégrer correctement les 15 000 roms présents sur son territoire -la moitié sont des enfants-), elle n’a nulle part où aller, le 115 lui répète chaque jour que toutes les places sont occupées.. et doit trouver de l’argent pour survivre sans avoir les moyens de mettre son bébé à la crèche. On pouvait s’en douter. Comment cette jeune femme en est-elle arrivée à un tel degré de misère? C'est LA question, la seule. Mais ce n'est pas celle que vont se poser les policiers suivant les ordres du beau Manu.

Outrés par la présence d’un enfant dans la rue, contraire aux lois de la République liberté-égalité-fraternité (lesquelles? Suivez-nous on vous dira) les deux dangers public sont amenés manu (Manu!) militari au poste où Mirella sera humiliée, insultée et menacée. On lui demande ses papiers et ceux du bébé, OK, les voici. Ce ne peut donc plus être une vérification d’identité à cet instant là ("la personne.. ne peut être retenue que pendant le temps. .exigé par l'établissement de son identité" ici, 1 mn qui aurait pu se passer à l'endroit du "délit", non, du stationnement.) Et justement, c'est là où ça se corse; la mendicité n’étant pas interdite, un OPJ va l’accuser d’"organisation de la mendicité d’autrui en vue d’en tirer profit" avec, circonstance aggravante qu'il s'agit de son enfant." (Ce serait moins grave si c'était celui d'une autre?) C’est écrit. Les peines encourues? 5 ans, 75 000 € et interdiction de séjour d’au moins 10 ans. Mais après 4 heures, en cette période de fêtes, on va les laisser partir avec menace de poursuites si dans les 3 ans bla bla"… Bonne année.

 Dérapage de flics sensibles aux conditions de vie d'enfants? Détournement de la loi afin de traquer, condamner et expulser des familles roms? Qu'en pensez-vous? Sous prétexte de les "aider", on enfonce donc les victimes dans une situation pire encore ! Ce n'est pas la situation que l'on traite mais le voyant rouge clignotant que l'on brise [juste un détail, la fille de Koko a reçu à sa naissance entre autre une "robe" de chez Dior, de quelques milliers d'€.] Lors de l’été 2011, des mamans roms qui mendiaient avaient été arrêtées et séparées de leurs enfants plusieurs semaines sous inculpation de "privation de soins" mais le tribunal de Bobigny les ayant relaxées (5), la police dépourvue changea son fusil d'épaule. "On trouvera autre chose" (6). Euréka ! 





(4) le prénom a été changé


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